En relisant mes notes et les commentaires que je reçois, je constate que j'apprécie le terme de philosophique attribué à une de mes tentatives de réflexion sur la réussite. Ce matin, je vais essayer de "philosopher" sur le rôle du coach. Qui suis-je? Une petite réaction épidermique : j'ose dire que je déteste ce mot, tellement galvaudé qu'il finit par avoir une connotation très négative. Je commence par ce que je ne suis pas : psy, formatrice, conseil en orientation, ce qui veut déjà dire qu'un coaching n'est ni une psychothérapie, ni une formation ni un conseil. Un ami me faisait remarquer récemment sur un ton légèrement persifleur : " ce qu'il y a de vachement bien avec vous, les consultants, c' est que vous ne foutez rien, vous faites bosser vos clients". J'ai pensé que c'était bizarre de me dire ça parce que je travaille beaucoup.
Le coaching est l'accompagnement d'une démarche que vous voulez entreprendre pour aller d'un point (la situation actuelle) à un autre (la situation future). C'est un mouvement vers le futur. Comme "coach" signifie "coche ou voiture à cheval", en quelque sorte je suis la voiture dans laquelle vous prenez place. Je mets à votre disposition, mon sens de l'écoute, mon expertise, mes connaissance techniques, mon expérience de l'entreprise, mon goût de l'humain pour vous permettre d'élargir vos perspectives, de favoriser l'émergence de vos solutions, de travailler votre savoir-être afin que vous atteigniez concrètement le but que vous vous êtes fixé.
Voilà pour une première tentative.
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