Cher lecteur, je suis confuse. Je te demande de pardonner quelque chose qui pourrait s’apparenter à de la paresse mais qui n’en est pas. Je t’ai lâchement laissé tomber parce que j’étais dans les affres de l’écriture. Eh oui! J’y suis retournée, par hasard et sans savoir où j’irais. En cet instant, où mes doigts courent sur le clavier pour te l’annoncer, j’y suis presque. À ma grande surprise!
Le texte est en cours de corrections et crois-moi, ce n’est pas une sinécure. L’accord du participe passé avec le verbe avoir : une galère. Si cela s’arrêtait juste au complément d’objet direct placé avant le verbe, tout irait bien. Seulement les exceptions pullulent. Entre les verbes qui ne s’accordent jamais, ou dans certaines conditions, les verbes pronominaux qui sont un cauchemar, j’ai souffert, crois-moi! Je ne te parle pas des répétitions dont on a l’impression qu’elles surgissent comme des lapins en dehors de leur trou ni des prises de tête parfois avec la ponctuation. Mais mon cercle de lecteurs s’est bien marré, ce qui est encourageant.
Nous attaquons la couverture. Si les dieux sont avec moi, peut-être juin est-il envisageable?
En tous les cas, je me suis bien amusée à écrire ce nouvel opus. Ce n’est pas un essai, ce n’est pas sur l’argent. C’est un récit et je ne t’en dis pas plus.
Bon week end et à la prochaine !
